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centerblog articles blogs images créer un blog partager sur facebook partager sur twitter rechercher connexion adresse du blog .centerblog.net mot de passe se connecter ajouter en ami accueil signer mon livre d'or faire connaître mon blog me contacter par mail flux rss thèmes affiches alexandre orion brad downey casseur détournement urbain land art les potobos mark jenkins peter gibson photographe poster boy rechercher recherchez aussi : · détournement urbain · photo fe mobilier urbain detourne en art · détournement streert art · détournement de mobilier urbain · mobilier urbain éphémère · oeuvre détournement espace public · publicite code de la route detourne · street art objet détourné · street art detournements mobilier urbain derniers commentaires lol stop la droguehttp://r ien.centerblog .net par nom, le 12.04.2015 quel est le titre de vos oeuvres par loli, le 03.11.2012 cet artiste remet un peu de fun dans la vie ^^http://azeds qwxc.centerblo g.net par tres fredu du 62, le 30.01.2012 cela me fait penser a cet artiste : http://street- art-shop.com/b log/2011/04/oa k-oak-detourne ment-urbain/ par omar, le 20.04.2011 vraiment de belles photographies. photographe mariage par anonyme, le 22.11.2010 voir plus c'est super sympa comme idée, bien fantaisiste ! ça me rappelle que j'aimerai vivre dans l'univers de "l'écume par aline, le 11.05.2010 articles les plus lus · christo javacheff & jeanne-claude :"révéler en cachant" · jr, photographe français · brad downey · mark jenkins · peter gibson alias roadsworth · projet 6emeia · poster boy · les potobos · alexandre orion · préambule... voir plus blogs et sites préférés · playground-world · sasseoir2hors · free-party statistiques date de création : 29.04.2010 dernière mise à jour : 17.05.2010 10 articles préambule... publié le 29/04/2010 à 11:20 par detournementurbain tags : détournement urbain "autour de cette ville, la monarchie a passé son temps à construire des enceintes, et la philosophie à les détruire. comment? par la simple irradiation de la pensée. pas de plus irresistible puissance. un rayonnement est plus fort qu'une muraille." victor hugo extrait de paris. dans paris comme dans la plupart des villes, tout y est organisé, pré-défini, pour éviter toutes formes de dérives possible. on nous parle d'espaces publics, de lieux ouverts à tous et à toutes activités, mais tout ceci n'est qu'un leurre. on nous enferme dans des espaces où chaque individu doit suivre des règles (ne pas marcher sur la pelouse, traverser sur les passages cloutés,s'asseoir ici mais pas là,...). ainsi, dans un monde où règne l'individualisme, on ne profite même plus de l'espace qui nous est libre, on traverse la ville d'un point a à un point b en ne faisant plus attention à ce qui nous entoure. a l'époque de victor hugo, des écrivains tels que balzac marchaient dans les rues en s'arrêtant sur des détails, et se rendaient alors compte de ce qui pouvait les entourer. vient alors la notion de flânerie, autrement dit le fait de se promener sans but précis, d'errer dans les rues à la recherche de lieux inconnus. cela leurs permettait de braver les murailles construites dans la ville. aujourd'hui, des artistes, ou bien de simples citoyens comme vous et moi, essaient à leur manière, de détourner toutes formes d'urbanisme; et ainsi, à travers ces actions, ils nous aident à regarder la ville sous un autre aspect et peuvent parfois nous délivrer un message. c'est ce sur quoi j'ai eu envie de vous parler dans mon blog, en vous faisant partager mes trouvailles à travers des vidéos, des photos , des articles... alors, flânons ensemble et partageons nos découvertes!!! ecrire un commentaire j'aime 7 jr, photographe français publié le 29/04/2010 à 12:31 par detournementurbain tags : jr photographe pour commencer, j'ai eu envie de vous parler d'un photographe dont le travail m'a particulièrement intéressé, jr. jeune artiste globe-trotter, jr expose ses photographies depuis près de cinq ans sur les murs des villes, de la cité des bosquets à montfermeil jusqu'à jérusalem. sa démarche, qu'il qualifie d'"activiste", tend à amener l'art là où une confrontation brute, sans références, est encore possible. ce qui lui permet de toucher le plus gens possible et notament ceux qui ne vont pas dans les musées. j'aime son travail car il ne cherche pas à faire oeuvre à tout prix, il cherche à créer un lien social, à rapprocher les communautés, à alerter. "forcée" de regarder, la population est impliquée sans avoir besoin de passer les portes d'un musée ou d'une galerie. son travail est engagé et évoque beaucoup la liberté ou le mélange de l'art et de l'action.la rue permet alors au photographe d'être au plus proche de son message et de ses spectateurs... de plus, chaque individu fait sa propre interprétation de l'image car rien n'est écrit à côté de la photographie, et jr ne laisse aucun commentaire. jr pose des questions, aux passants d'y répondre. voici quelques photos de ses "installations"....: 28 millimetres project : women dans le bidonville de kibera - kenya. janvier 2009 favela " morro da providencia", rio de janiero. 28 millimetres projet : women face 2 face, amsterdam - librairie athenaeum. juin 2007. photo : barako.net face 2 face, paris. rue de rivoli. novembre 2007 je vous donne l'adresse de son site internet si vous voulez plus de renseignements sur jr et plus de photos de son travail: http://jr-art.net/ certains dénoncent ce genre de travail, en parlant de vandalisme ou encore de code d'urbanisme...moi je trouve que jr a fait ici un travail remarquable, de par sa qualité photographique bien sûr mais aussi pour toutes les réactions qu'il a pu susciter... qu'il plaise ou déplaise, c'est un fait, mais le principal c'est qu'on le regarde et que l'on en parle, non? ce genre d'installations a permis à un plus grand nombre de voir ses photographies; les gens ne vont pas dans les musées....l'art vient alors à eux. ecrire un commentaire 1 commentaire j'aime 4 projet 6emeia publié le 02/05/2010 à 18:25 par detournementurbain je voudrais vous parler aujourd'hui de deux artistes brésiliens, anderson augusto et leonardo delafuente, qui ont décidé d'embellir les bouches d'égout afin de les rendre plus agréables, devenant ainsi des oeuvres d'art. pour cela ils ont monté en 2006 un projet intitulé "6emeia", une sorte de groupe artistique ayant de nouvelles idées amusantes et innovatrices. leur but est de changer et d'améliorer la vie quotidienne, en modifiant l'environnement dans lequel nous vivons tous. ils proposent une nouvelle façon de concevoir et de visualiser les choses qui nous entourent en passant par des créations et des travaux inhabituels. ces artistes de rue ont donc eu l'idée de peindre les bouches d'égout qui jalonnent les rues des grandes villes brésiliennes, telles que sao paulo. animaux, objets, personnalités, tout y passe. je trouve ce projet intéressant car il egaie les rues, et permet peut-être de rendre notre quotidien un peu moins triste. de plus, il nous permet d'attirer nos regards sur un détail de l'urbanisme auquel on ne faisait certainement plus attention. personne ne s'arrête devant une bouche d'égout, on ne regarde plus ces éléments urbains que l'on croise chaque jour. alors, merci à eux, tout simplement! je vais vous faire partager quelques photographies de leur travail, mais si vous voulez en savoir plus sur eux, je vous laisse aller faire un tour sur leur site où vous trouverez plus d'informations : www. 6emeia .com . ecrire un commentaire 3 commentaires j'aime 13 alexandre orion publié le 04/05/2010 à 17:09 par detournementurbain tags : alexandre orion voici une vidéo sur le graffeur alexandre orion, réalisée en 2006 à sao paulo au brésil. la particularité de son travail c'est qu'il exprime son talent en nettoyant le mur d'un tunnel de la ville, noirci par la pollution. ainsi, à l'aide d'un chiffon blanc et de la pollution, il a dessiné des crânes sur environ 160 mètres. en dessinant des crânes à partir de la pollution, son travail nous fait réfléchir, surtout que par la suite, il a entraîné le nettoyage du mur du tunnel.... il aura fallu tagguer le mur pour faire réagir la municipalité. comme quoi, le tag peut simplement refléter un problème de la ville. suite à la découverte de ce travail, je suis allée fouiller sur son site, et j'ai trouvé d'autres réalisations dont une qui m'a particulièrement intéressée, appelée métabiotics et réalisée en 2006. ce travail consiste à jouer avec le tag, la rue, et les passants. c'est original et créatif, en un mot, j'adore!! pour que vous compreniez mon enthousiasme, voici quelques images : maintenant, n'hésitez pas à aller voir son site, et découvrir toutes ses réalisations!!!! http://www.alexandreorion.com/_orion.htm ecrire un commentaire j'aime 5 les potobos publié le 06/05/2010 à 09:52 par detournementurbain tags : les potobos les potobos, action organisée par paris label & paul kingleur et accompagnés par des artistes associés. elle consiste à détourner des potelets et des bite-anti-stationnement dans le but de se réaproprier l'espace public, et de questionner le territoire trottoir. potobos est tout simplement le nom donné aux potelets transformés, remplaçant l'interdit par quelque chose de poétique et d'éphémère. les lieux sont toujours tenus secret et donnés au dernier moment pour créer l'effet de surprise. l'action est protégée tout au long de la journée par des personnes qui assurent à la fois la surveillance et la communication auprès des passants. pour pouvoir être tenu au courant du lieux et de la journée, il suffit de s'inscrire sur la liste parislabel@gmail.com. cette action ne change pas le monde, bien évidemment, mais elle permet, le temps d'une journée, de réunir des artistes autour d'une même action et de rendre plus poétique nos trottoirs délimités par ces poteaux. je vous laisse donc regarder la vidéo (au début de l'article) pour que vous puissiez mieux comprendre en quoi consiste cette journée. je vous laisse également aller voir le site de paris label, dont l'action ne se limite pas uniquement au potobos. en effet, il existe également "l'arbre à palabre" qui consiste à accrocher des poèmes écrits par des enfants , des murs de graffs offrant un musée de graffitis et de fresques en plein air , divers articles sur l'actualité à paris, etc... http://www.parislabel.com/ ecrire un commentaire j'aime 1 christo javacheff & jeanne-claude :"révéler en cachant" publié le 09/05/2010 à 13:39 par detournementurbain tags : land art christo javacheff & jeanne-claude "notre travail parle de liberté" tout en restant sur le même thème, , j'ai eu envie de vous parler d'un couple d'artistes (pas vraiment d'actualité) que j'ai découvert lors d'un cours sur l'histoire de l'art. il m'a semblé intéressant de vous en faire part car, à leur façon, ils détournent, eux aussi, l'environnement et le paysage urbain afin d'attirer notre regard... en effet, ce couple d'artistes contemporain dit, "les embaleurs", s'est rendu célèbre par ses objets empaquetés. christo, l'artiste bulgare et jeanne-claude, l'organisatrice française se rencontrent en 1958 et démarrent leur collaboration artistique. dans leur travail, ils utilisent le tissu pour créer des œuvres éphémères en « emballant » des paysages, des monuments, des lieux. leur but est donc d'intervenir sur des lieux naturels, sur le thème « révéler en cachant ». pour christo, « son art est le résultat d’une réflexion et d’une intuition esthétique imposée à un environnement naturel et construit ». ainsi, avec jeanne-claude, ils veulent impressionner le public et lui donner une nouvelle vision de ce qui l'entoure. de plus, en cachant des paysages ou des bâtiments à l'aide de tissu, ils attirent notre regard et nous amène à observer ces lieux ou objets, parfois oubliés... temporaires et monumentales, originales et surprenantes, leurs oeuvres attirent et questionnent. magnifiés, les objets détournés, prennent une ampleur différente. leur site officiel : http://www.christojeanneclaude.net/ ecrire un commentaire 2 commentaires j'aime 6 poster boy publié le 10/05/2010 à 16:10 par detournementurbain tags : casseur affiches poster boy poster boy "je considère le système dans lequel on vit comme de l’esclavage moderne et j’essaye de le défier avec mon art" "j'ai commencé à travailler sur les affiches du métro pour plusieurs raisons. d'abord parce que j'avais très peu d'argent et très peu d'espace pour exposer mon travail. ensuite parce que je voulais afficher certaines opinions politiques. et enfin parce que je crois que l'art doit être redéfini en permanence. c'est le rôle de l'artiste, même si c'est ensuite au public d'accepter ou de rejeter cette nouvelle définition. par mes œuvres, j'essaie d'évoquer les questions de copyright et de droit d'auteur qui, selon moi, inhibent le processus de la création artistique. j'essaie de faire comprendre aux gens la différence entre ce qui est bien et ce qui est juste. si une loi est dépassée, obsolète, et/ou devenue immorale, ne devons-nous pas la défier ? souvenez-vous que l'esclavage a été légal pendant un temps. or, je considère le système dans lequel on vit comme de l'esclavage moderne, et j'essaye de le défier avec mon art. je suis toujours en avance sur la police. ce sont eux qui doivent me gérer, pas l'inverse. il faut qu'un changement majeur s'opère dans le monde. que l'on passe d'un impératif de progrès économique à un impératif de coexistence environnementale. je n'attends rien de mon public, comme je n'attends jamais rien de personne. mais je sais que les gens sont naturellement bons. je vois que mon art a suscité un véritable intérêt. j'ai aussi reçu des commentaires haineux sur le net, mais je mets ça sur le compte de l'ignorance et de la peur." depuis environ deux ans, poster boy, jeune artiste new-yorkais de 26 ans, déambule dans les couloirs du métro accompagné de sa lame de rasoir. ses victimes : les affiches publicitaires, qu'il customise sous le nez des passants et de la police. a l'aide de son cutter, il découpe textes et images sur des affiches et les recolle sur d'autres, exprimant ainsi une idée, un message. défier l'autorité en utilisant ce qui est à porté de mains, voilà son credo. a la fois drôle, surprenant et revendicateur, je vous conseille d'aller voir son travail qui est, je trouve, plus intéressant que celui d'un simple casseur d'affiches publicitaires. il va plus loin que la simple détérioration, il apporte sa créativité et délivre un message à l'aide d'un support déjà existant. customisées, les affiches prennent alors un tout autre sens... mais la plupart des affiches qu'il "revisite" sont décrochées juste après son passage par les employés du métro (évidemment). l'artiste prend donc son travail en photo et le publie dans sa "galerie" sur flickr . en voici quelques extraits: ecrire un commentaire j'aime 3 mark jenkins publié le 15/05/2010 à 15:09 par detournementurbain tags : mark jenkins mark jenkins, à travers son travail, interpelle les passants et exprime sa révolte contre les défauts de notre société. il utilise la rue comme moyen d'expression et touche ainsi un grand nombre de personnes souvent surpris par ses "installations". "there is opposition, and risk, but i think that just shows that street art is the sort of frontier where the leading edge really does have to chew through the ice. and it's good for people to remember public space is a battleground, with the government, advertisers and artists all mixing and mashing, and even now the strange cross-pollination taking place as street artists sometimes become brands, and brands camouflaging as street art creating complex hybrids or impersonators. i think it's understanding the strangeness of the playing field where you'll realize that painting street artists, writers, as the bad guys is a shallow view.“ mark jenkins, time magazine. la rue est pour lui un lieu d'expression et d'échange, elle permet de communiquer avec les autres que ce soit pour la publicité, la politique ou encore pour les artistes urbains. ainsi, ses installations attirent notre attention, nous surprennent et nous questionnent. l'espace public, lieu de partage et d'échange, permet à son art d'exister et à son message d'être transmis. voici quelques photos de son travail: si vous voulez en savoir plus sur mark jenkins, voilà son site internet : www.x markjenkins x.com/ ecrire un commentaire j'aime 8 brad downey publié le 16/05/2010 à 12:37 par detournementurbain tags : brad downey brad downey, artiste américain, détourne l'usage des images, des objets et du mobilier urbain dans le but de nous montrer la ville sous un autre jour. a travers son travail, il réinterprète et se réapproprie l'espace urbain. il joue avec l'ensemble des signes qui nous entourent, et interpelle les passants . drôle, surprenant et original, il nous laisse la libre interprétation de ses oeuvres. comme tout art de rue, l'artiste crée une oeuvre et la laisse évoluer dans l'espace urbain. souvent éphémère, elle prend vie ans l'espace urbain, et peut créer un sens différent pour chaque individu... ce genre de travail nous aide à voir d'une autre manière ce qui nous entoure. l'habitude et le quotidien, nous font oublier ce qui est autour de nous, et surtout que la rue est un espace public offrant une multitude de possibilité. elle est un vrai terrain de jeu, et c'est grâce à ce genre de travail, que l'on en prend conscience... alors merci à tous ces artistes qui, pleins d'ingéniosité et de créativité, nous ouvrent les yeux sur la rue, si souvent oubliée... rien que pour vos yeux, voici un extrait du travail de brad downey : si vous voulez en savoir plus sur cet artiste, vous pouvez aller voir son site : http://www.braddowney.com/ bonne visite! ecrire un commentaire j'aime 4 peter gibson alias roadsworth publié le 17/05/2010 à 16:14 par detournementurbain tags : peter gibson peter gibson , alias roadsworth, milite pour le développement du vélo, et la rue est sa toile. contre les voitures, il s'approprie et réinterprète les lignes et les signes que l'on peut trouver sur la route. pour que vous compreniez mieux voici quelques images : ce travail nous montre que la rue peut aussi être moyen de s'exprimer et d'affirmer son opinion. la rue, lieu d'échanges et de vie, devient un lieu d'expression. c'est ce que j'ai voulu démontrer dans ce blog à travers différents travaux... l'espace urbain nous offre pleins de possiblités, on ne pense qu'à se déplacer en oubliant l'environnement. la rue, trop souvent oubliée, reprend tout son sens grâce à tous ces artistes qui s'expriment. parfois magnifiée, parfois contestée, elle est le lieu de tous les échanges. pas besoin de galeries ou de musées, la rue peut devenir à elle seule un véritable espace d'expositions... en se baladant, les passants peuvent ainsi admirer toutes ces oeuvres. le but n'étant pas forcément d'être d'accord avec l'artiste mais tout simplement de réfléchir sur le message transmis. voici le site de peter gibson si vous voulez voir plus d'images sur son travail : http://roadsworth.com/main/index.php?x=browse&category=2 ecrire un commentaire j'aime 11 créer un blog . articles société . blogs société a voir sur ce blog : détournement mobilier urbain detourner le mobilier urbain derniers articles : peter gibson alias roadsworth peter gibson, alias roadsworth, milite pour le développement du vélo, et la rue est sa toile. contre les voitures, il s'approprie et réinterprète les brad downey brad downey, artiste américain, détourne l'usage des images, des objets et du mobilier urbain dans le but de nous montrer la ville sous un autre jour. a travers mark jenkins mark jenkins, à travers son travail, interpelle les passants et exprime sa révolte contre les défauts de notre société. il utilise la rue poster boy &#